Aujourd’hui, les réseaux sociaux ont des utilisations variés selon les objectifs et les compétences des internautes. Trois réseaux majeurs sont en concurrences : Facebook, Twitter et le petit dernier Google Plus.

Nous nous arrêterons sur google plus, et son usage. Un réseau que j’apprécie de part son principe d’utilisation. L’exploitation est subtile et J’exposerai ma perception et de mon utilisation.

Google +, ce n’est ni facebook, ni twitter. 

Son utilisation repose sur des profils actifs et des cercles qui intéragissent de manière riche autour de lien, photo et vidéo dans le but d’améliorer leur référencement ou recommandation. Cette marque, à l’image du “J’aime” de Facebook, qui a une dénotation personnel, Google l’illustre par le +1. Ce dernier sert aussi de bookmark. Un avantage car tous vos +1 sont archivés et permettent une indexation sur les moteurs de recherche.

Google plus ne permet pas l’automatisation de publication venant de flux extérieur contrairement à twitter ou facebook où il est possible d’autopublier un flux sur son profil.

Certain peuvent y voir une contrainte, mais c’est une démarche qui est intelligente. Les statistiques sont unanimes. Plus de la moitié des utilisateurs enregistré sur les réseaux sociaux, ne publient pas de mise à jour ou se sont des bots qui le font.

Créé en mars 2006, le site compte pourtant plus de 200 millions d’utilisateurs – dont 100 millions sont dits “actifs”. Chaque jour, 200 millions de “tweets” sont échangés, mais seulement 5 % des membres créent 75 % du contenu. Twitter, qui emploie 600 salariés, existe en douze langues et il est présent dans 193 pays – sans oublier la Station spatiale internationale. Le site est actuellement valorisé à 7,7 milliards de dollars. A vous de trouver l’équation qui lui permettra d’être rentable ! (The New York Times Magazine 10 09 2011)

Sur google plus, l’utilisateur est au centre de ses cercles et est inciter à partager du contenu riche et ouvre à des discutions et à débattre sur des médias.

L’utilisation des cercles.

Avoir la maîtrise de son profil, de sa réputation. Nous définissons des cercles plus ou moins conséquents. Par défaut Google Plus propose :

  • un mode Public. Tous les internautes on une vue sur votre flux.
  • un cercle d’amis. Vos amis proches, c’est-à-dire ceux avec qui vous pouvez tout partager, même les détails les plus intimes.
  • un cercle famille. Regroupe votre famille proche comme votre famille éloignée, même la belle-famille.
  • un cercle Relation. La catégorie idéale pour classer les personnes que vous avez rencontrées, mais avec qui vous n’avez pas vraiment d’affinités.
  • un cercle de suivi. Contacts que vous ne connaissez pas personnellement, mais dont les posts vous intéressent.
  • Vos cercles personnalisés. Vous pouvez composer vos propres cercles avec des personnes présentes ou non sur google plus. Ces derniers recevront une notification par email.

Partager à des cercles est donc une alternative à l’emailing, et un outils marketing intéressant à exploiter.

A l’usage.

Ce seront les utilisateurs qui feront la force de google plus. Google part sur une expérience solide et c’est premiers utilisateur ont bien lançé le mouvement. Et je le souhaite restera un réseau fondé sur la richesse et la création de discussion.

On peut s’attendre

à plus, car Google est économiquement prolifique à défaut de facebook ou twitter qui ont des modéles de revenue flou (lire Twitter serait-il trop gros pour réussir ?, Courrier International)

Liens et à suivre

Dans l’objectif de vous retrouvez et vous ajoutez à mes cercles. Je vous invite à creuser ces liens :

  1. Comment Utiliser Google Plus ?, Emarketinglicious
  2. Google+ pour les nuls, Le Monde
  3. Comment ça marche Google+ ? — Le tutorial PDF en français, Guim

Chargé de web marketing, je vous propose de prendre part au projet google plus m’ajouter à votre cercle.

Découvrez avec les pages google qui suivent :